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Qui Sommes-Nous?

  • : Le blog de Fontenay pour la Diversité
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4 juin 2008 3 04 /06 /juin /2008 18:33

Article par dans Le Monde
Grèves de la faim, automutilations, suicides, dépressions, combien sont-ils, ces étrangers sans papiers, en France parfois depuis plusieurs années, ayant un emploi, une famille, des enfants, payant des impôts, qui se trouvent brutalement placés en centres de rétention, c'est-à-dire privés de liberté, sans procès et sans l'intervention d'un juge ?
Combien d'étrangers en situation irrégulière, mais parfaitement intégrés à la société française, vivent avec la peur au ventre parce qu'à tout moment un contrôle d'identité peut faire basculer leur vie ? D'où vient qu'il faille ainsi reconduire à la frontière des étrangers sans problème et utiles à notre économie ? La France n'est-elle pas précisément un pays d'immigration qui s'est enrichi des apports économiques et culturels de vagues successives d'immigrants ?
Des démographes tels qu'Hervé Le Bras nous apprennent qu'au motif que la France est considérée traditionnellement comme un pays d'immigration, on a pour habitude de ne pas comparer l'immigration à l'émigration. Or ils nous montrent que le solde migratoire est positif de l'ordre de 6 000 personnes par an, ce qui veut dire qu'il est quasi nul, car sur la décennie 1993-2002, 520 000 personnes ont quitté le territoire français. (...)
Lire la suite sur Le Monde. fr 

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31 mai 2008 6 31 /05 /mai /2008 07:59

La LDH et le MRAP avaient promis de tirer les premiers enseignements après six mois d'exercice au sein de la commission de régularisation des sans-papiers : ils ne sont pas bons.

PAR EMMANUEL CRAPET (La Voix du Nord)

Il y a ce locataire de Lille-Sud, dont le propriétaire ne voulait pas réparer l'énième dégât des eaux et qui a préféré le dénoncer à la police de l'air et des frontières. Il y a aussi ce jeune marié, lui aussi en attente de régularisation, qui ne connaissait pas la date de naissance de sa belle-mère et qu'on a accusé d'avoir arrangé son mariage. Il y a également ce sans-papier, dont le dossier a été rejeté parce qu'il était impliqué dans une affaire judiciaire, en tant que victime. Il y a encore ce Marocain arrêté à son domicile le jour où son dossier était examiné en préfecture... Autant d'exemples qui restent en travers de la gorge du MRAP (Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples) et de la LDH (Ligue des droits de l'homme). En novembre, ces associations acceptaient d'intégrer la commission consultative départementale de réexamen des situations administratives des étrangers (CODRESE). Elles s'étaient alors promis d'en tirer les enseignements après quelques mois d'exercice.
Les voilà.

« C'est beaucoup moins bien qu'avant », tempête Gérard Minet. Le bouillonnant secrétaire régional de la LDH ne remettra pas une palme d'or aux scénarios présentés par la « commission Canepa » et regrette même les précédents accords Delarue (qui ont servi de modèle aux régularisations entre 2004 et 2007).

Où le bât blesse-t-il ? « Les critères sont plus restrictifs », déplore un membre de la commission : le candidat à la régularisation doit maintenant cumuler lien familial, insertion dans la société française et être en danger en cas de retour au pays. Ne pas remplir une seule de ses trois conditions est devenu un obstacle quasi infranchissable. «  Ce sont des points cumulatifs alors que rien ne le précise dans le règlement intérieur. » LDH et MRAP dénoncent également en choeur l'idée qu'on ne puisse plus présenter qu'une seule fois les dossiers (à titre exceptionnel, ils peuvent revenir en seconde lecture six mois plus tard). La précédente commission offrait au sans-papiers, en même temps que la possibilité de présenter plusieurs fois le dossier, l'occasion de se construire un parcours d'intégration.

Ce bilan - « négatif » -, LDH et MRAP en ont remis, hier, une copie en préfecture. Un regard sur six mois de fonctionnement, complété par des doléances : l'élargissement du nombre des représentants par association (ils ne sont pour le moment que deux), ainsi que l'intégration du CSP 59 (le comité des sans-papiers créé en 1996) figurent parmi celles-là.

Tout ça inspire cette réflexion à Roland Diagne, porte-parole du CSP : « Tous les préfets - M. Canepa est le cinquième - ont cherché des poux dans les cheveux parfois crépus des membres du comité mais jamais à ce point. » •

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30 mai 2008 5 30 /05 /mai /2008 20:50
Tous les sans-papiers du 50 rue Michelet à Bondy doivent être régularisés !
Bondy, le 29 mai 2008. L’association des résidents de Michelet-Bondy et le collectif de soutien aux sans-papiers du 50 rue Michelet à Bondy dénoncent les premières réponses faites par la préfecture de Seine-Saint-Denis aux demandes de régularisation déposées le 6 février dernier. Tous les refus doivent être ré-examinés.

152 personnes, dont 48 sans-papiers, habitent au 50 rue Michelet à Bondy, dans une ancienne clinique utilisée abusivement par son propriétaire comme logements. Il exige des loyers exhorbitants, en utilisant la situation administrative des résidents et résidentes sans-papiers comme moyen de pression. Il n’entretient pas les locaux, ce qui a valu récemment un arrêté préfectoral d’insalubrité pour une chambre en sous-sol.

Un collectif de soutien s’est mis en place, rassemblant largement organisations politiques, syndicales et associations sur Bondy et la Seine-Saint-Denis pour exiger la régularisation des sans-papiers du 50 rue Michelet et leur relogement. Plus de 300 lettres de voisins et plus de 1500 signatures de la pétition de soutien prouvent l’excellente intégration des résidents et résidentes de Michelet dans leur quartier et dans leur ville. Les Bondinois et les Bondinoises exigent la régularisation au plus vite de leurs voisins et voisines du 50 rue Michelet. Ils vivent ici, travaillent, payent leurs impôts ; leur enfants sont scolarisés. Les élus locaux (maire, conseillers généraux, conseillers régionaux, députés, sénateurs) soutiennent ces demandes.

Leurs dossiers sont solides et justifient amplement la régularisation complète de tous les résidents sans-papiers au titre de la vie privée / vie familiale. Alors que les préfectures et le gouvernement répondent par des manoeuvres dilatoires aux nombreuses grèves actuelles de travailleurs et travailleuses sans-papiers, la même politique de diversion et pourrissement semble être de mise pour le cas de l’ancienne clinique Michelet. Les motivations du premier refus envoyé par la préfecture de Seine-Saint-Denis démontrent un examen bâclé des dossiers.

L’association des résidents de Michelet-Bondy et le collectif de soutien réclament la régularisation de l’ensemble des sans-papiers du 50 rue Michelet.

- Pour plus d’informations : Blog de Michelet-Bondy 
- Pour contacter l’association des résidents de Michelet-Bondy : 06.13.12.16.59. ou 06.10.40.86.22

Rappel. Le collectif de soutien aux sans-papiers du 50 rue Michelet à Bondy regroupe : Alternative libertaire 93, Collectif communiste de Bondy (ACU), Collectif de soutien aux mal-logés de Bondy, Collectif des sans-papiers de Bondy, Conseil national de la jeunesse malienne de France (CNJM-F), Coordination 93 de lutte pour les sans-papiers, Coordination des groupes anarchistes (CGA), Droit au logement (DAL), Gauche alternative unitaire (GAU), Haut conseil des maliens de France (HCMF), Les Verts, RESF Bondy, RESF Noisy-le-Sec, RESF Renoir, Parti socialiste Bondy.

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29 mai 2008 4 29 /05 /mai /2008 14:37
Sans-papiers : « objectif 64 reconduites hebdomadaires » en 2008
 
Par David Dufresne (Médiapart)

Du « Tableau de bord stratégique » de la préfecture de police de Paris, que Mediapart révèle aujourd’hui, la mission « contre l’immigration irrégulière et le travail clandestin » est la plus détaillée. C’est même la seule mission, avec le hooliganisme, à avoir droit à son « suivi hebdomadaire ».

Tout y est classé, codifié, référencé, semaine par semaine, cumul après cumul. Dans l’une des pages, le lecteur peut même suivre, en exclusivité préfectorale, une courbe hebdomadaire intitulée : « Accroître les reconduites à la frontière ».

En grisé, ou en noir, en ligne droite ou en pointillé, toutes les expulsions depuis Paris sont cliniquement consignées. Celles des « mis en cause pour ESI » (étrangers en situation irrégulière), celles dites « reconduites cœrcitives » (avec usage de la force).

Pour la courbe de la semaine du 9 avril, que nous nous sommes procurée, une ligne noire, parfaitement rectiligne, résume jusqu’à l’absurde la mission. Il s’agit de l’« objectif 2008 ». Ce sont les ordres : cette année, il faut « 64 reconduites hebdomadaires ». Pas une de plus, pas une de moins. Logique implacable, logique administrative.

Plus loin, un tableau récapitule toutes les actions policières en la matière dans la capitale. Nombre de placements en rétention, nombre d’« OQT » (pour Obligation à quitter le territoire), les « faux touristes », les « reconduites effectives » depuis le 1er janvier 2008 (1355) comme les « refus d’embarquement » (44 sur la même période).

Tout en bas, un pourcentage-bilan indique le « taux d’efficience » du travail policier, expliqué d’une formule mathématique (c’est le nombre de « reconduites effectives divisé par l’activité globale »). Depuis le début de l’année, ce chiffre a fait un bond. Il est de 34,08% contre 13,36% pour 2007.

Explication avancée par la préfecture : « On cible mieux les procédures au départ. » En clair, on laisse de côté les familles, moins facilement expulsables que les célibataires. D’où un ultime chiffre, éloquent. A la colonne « reconduites effectives / taux d’acquisition de l’objectif », on lit ce record : « 150% ». On a donc expulsé plus d’étrangers que prévu.

Selon nos informations, l’ensemble de ces tableaux immigration serait, à l’inverse du tableau général, un outil mis en place il y a déjà quelques années. C’est dire la priorité politique que constitue la question des sans-papiers. Nouveauté 2008 : les objectifs chiffrés. Ils sont même indiqués département par département, petite et grande couronnes.

Il y a là comme une obligation de résultats. Cette année, 3300 expulsions sont escomptéés pour Paris. 980 pour la Seine-Saint-Denis. 950 pour l’Essonne. 500 pour le Val-d’Oise. 635 pour le Val-de-Marne. Etc.

En fait, la pression est immense sur toute la Préfecture. Elle vient d’en haut. Du président de la République. Du ministère de l’intérieur et de Brice Hortefeux, le ministre de l’immigration. Chaque semaine, se tiennent une ou plusieurs réunions sur le sujet place Beauvau. Parfois avec Michel Gaudin, le préfet. Parfois avec les ministres Alliot-Marie et Hortefeux, toujours avec leur cabinet.

Depuis l’affaire des salariés sans papiers en grève, c’est pire encore. Entre deux réunions, le téléphone chauffe. En août dernier, pour les caméras, Brice Hortefeux s’était même invité à la Préfecture. Il y avait exhorté le nouveau préfet de police à « augmenter de façon significative le nombre d’interpellations d’étrangers en situation irrégulière ». C’est la mission 3 du tableau de bord stratégique. En un sens, elle est réussie.
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28 mai 2008 3 28 /05 /mai /2008 22:47
J'avais envie d'écrire un truc sur le sujet de ce sans-papiers qui est régularisé pour avoir sauvé une personne âgée de son appart en feu. Charb, de Charlie Hebdo, m'a devancé, dans le même sens, avec certainement beaucoup plus de talent ! Coup de bol pour vous! 
Je n'arrive pas à reproduire l'image, donc allez lire ici sur le site de RESF, ça vaut le coup!  
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26 mai 2008 1 26 /05 /mai /2008 19:30

interpellé alors qu'il se rendait à la préfecture de Melun pour déposer une demande de régularisation par le travail, Monsieur Gokkaya a été interpellé au guichet de la préfecture de Melun et placé en rétention le 14 mars 2008.

Il s’était rendu à la préfecture de Melun pour déposer une demande de régularisation par le travail. Son employeur avait effectué toutes les démarches nécessaires afin d'obtenir sa régularisation en tant que salarié. Il avait saisi la Direction départementale du travail, de l'emploi et de la formation professionnelle (DDTEFP). La DDTEFP avait accordé une autorisation de régularisation et invité monsieur Gokkaya à se rendre à la préfecture afin d'y déposer sa demande.

L'agent au guichet de la préfecture, constatant que monsieur Gokkaya faisait l'objet d'un arrêté de reconduite à la frontière (APRF) ancien, a saisi le service éloignement de la préfecture qui a décidé de le placer en rétention sans prendre en compte l'accord de la DDTEFP.

Monsieur Gokkaya ne doit son salut qu'à la décision du juge des Libertés et de la détention qui l'a libéré en raison de l’illégalité de l’interpellation.

Un tel procédé d’interpellation doit être regardé comme déloyal et contraire à l’article 5 de la Convention européenne des droits de l’Homme (CEDH).

Au-delà de l’illégalité de l’interpellation, la situation de monsieur Gokkaya est surtout révélatrice de l’ambiguïté voire du double langage du gouvernement. Lors du vote de la loi Hortefeux en septembre 2007, la possibilité d’une régularisation par le travail a été annoncée. De nombreux étrangers qui travaillent depuis des années en France ont cru en ces déclarations et se sont engagés de bonne foi dans des démarches afin de l’obtenir.

Dans la réalité, la logique politique ne change pas. La poursuite des quotas d’expulsion s’oppose à ce que les préfectures admettent d’étudier ces demandes. Très peu d’étrangers bénéficient d’une mesure de régularisation. Pire, les démarches de régularisation engagées se traduisent parfois par l’interpellation et l’expulsion de ces travailleurs.

Nous appelons à nouveau les étrangers à la prudence et les pouvoirs publics à leur responsabilité et à leur devoir d’humanité.

Source: site de la CIMADE 

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25 mai 2008 7 25 /05 /mai /2008 20:55

25 mai 2008Par Armelle Chevassu

Intolérables atteintes au droit de se soigner et à la vie privée !

ou l'envers de la politique du chiffre du Ministère de la Honte

- Bravo encore une fois à la préfecture du Rhône qui nous montre une fois de plus le bien peu de cas qu'elle fait de la vie d'un tout jeune homme et du droit à se faire soigner. Mahdi D. 20 ans, venu en France en 2006 pour soigner un cancer du tibia et éviter l'amputation, n'est plus reconnu malade par la préfecture et son permis de séjour n'a pas été renouvelé . Pourtant il a une prothèse au genou qui nécessite une surveillance constante, et qui, si elle n'est pas faite,  pourrait mettre en jeu son pronostic vital . Tout cela est inscrit dans son dossier !  Mais de cela la préfecture n'en a cure ! Vous reviendrez vous faire soigner ici a-t-on dit à Madhi alors que nous savons tous que l'obtention d'un visa peut prendre de très longs mois ... mais que le cancer lui n'attend pas.  Mahdi a refusé à Lyon de se faire expulser. Qu'à cela ne tienne ! C'est en fourgon cellulaire qu'il a été extrait à 5h30 samedi matin pour être conduit  sur un bateau algérien au port de Marseille. Les militants du RESF sont intervenus auprès des passagers pour les informer mais il leur a été impossible de faire échouer cette ignominie. Les autorités par le biais du plan vigipirate n'ont eu aucun scrupule à faire se déplacer l'armée et des policiers en grand nombre pour s'opposer à une dizaine de militants venus rappeler la réalité qui se cache derrière les chiffres exigés par Sarkozy et Hortefeux : un gosse de 20 ans qu'on vire et dont on met la vie en danger.

- A Marseille, le centre de rétention du Canet mérite plus que jamais son nom de centre de la Honte : 50 "retenus" y ont de nouveau entamé ce samedi 24 mai une grève de la faim. Ils se révoltent contre les conditions de vie à l'intérieur du centre. Sur les listes des futurs expulsés , un homme qui vit en France depuis 30 ans ...un autre qui doit subir une grave intervention chirurgicale programmée le 27 mai, un autre encore dont le mariage ne se fera pas ...

C'est en France aujourd'hui.

Nos droits sont leurs droits.

Laisser ce gouvernement priver de leurs droits les "étrangers"  c'est laisser partir les nôtres peu à peu .

Source : 
Mediapart  

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25 mai 2008 7 25 /05 /mai /2008 13:05

Les sans papiers sont de nouveau en grève de la faim au Camp de rétention .

Une cinquantaine de détenus ont entamé depuis hier matin une grève de la faim pour protester contre les raisons et les conditions de détention.

Parmi les cas cités : 
- expulsion d’un monsieur qui vit en France depuis 30 ans, 
- expulsion prévue le 26 mai d’un détenu qui doit subir une très grave opération le 27 mai, 
- mariage rendu impossible pour cause d’expulsion.

Beaucoup d’expulsions sont également programmées la semaine prochaine.

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24 mai 2008 6 24 /05 /mai /2008 18:56

MAMY RAMAROJAONA est libre depuis cet après midi 15h grâce à la forte mobilisation au tribunal de la communauté malgache grâce à la présence de ses copains de l ’Unef Nanterre grâce à la présence des différents personnes des réseaux idf à l ’audience même si celle-ci a eu lieu à huis -clos et surtout grâce à la générosité l "engagement et l ’efficacité de son avocate Me Elise Vallois du barreau de Bobigny Mamy doit dit le juge passer ses examens et continuer ses études en France , il l a laissé en liberté et ajourné l ’audience correctionnelle au jeudi 10 juillet 2008 à 13 heures à Bobigny La lutte et la mobilisation continuent
Marlène ¨Pierre resf 94 Cachan resf 94 vitry

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24 mai 2008 6 24 /05 /mai /2008 08:26

MAMY PASSE AU TRIBUNAL DE BOBIGNY AUJOURD'HUI SAMEDI 24 MAI A 13H .
SOYONS NOMBREUX POUR LE SOUTENIR ! 
Nous étions ce matin 25 à Roissy pour empêcher l’expulsion de Mamy (15 étudiants et profs de Nanterre, 5 du Rusf Paris I, 5 membres de la famille).
Informer les passagers, les motiver à agir, prévenir le personnel qu’on les tiendrait pour responsable en cas d’expulsion, demander à ce que le commandant de bord soit averti, tout cela a été, encore une fois, très efficace.
Pour l’anecdote, il nous a même été conseillé, pour la prochaine fois, de faire des campagnes de fax préventives auprès de la compagnie !!!
Apparemment, mobilisation de la majorité des passagers, qui ont refusé de s’assoir. Pas d’arrestation de passagers.
Il semblerait que le commandant de bord ait lui-même demandé à mamy de descendre, donc peut-être pas de refus d’embarquer.
Je vous tiens au courant pour la suite.
Merci à ceux qui se sont mobilisés,
Jules


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